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Les Multi50 sur grand écran

En fin de matinée était donnée la conférence de presse du Pro Sailing Tour en présence des skippers, d’équipiers, d’institutionnels des villes d’accueil. Une présentation en grande pompe au Palais Vivienne


La classe Multi50 est renommée Ocean Fifty


Erwan Le Roux président de la Classe Ocean Fifty indique qu’un partenariat a été conclu pour 8 ans avec des cycles de 4 ans avec Up Swing Prod.

Julien Mauriat associé société UpSwing Prod : « Le circuit est international en France et en Espagne sur les 4 prochaines années, un circuit compact et lisible de mai à aout, aller à la rencontre du public, au cœur de villes iconiques en Atlantique et Méditerranée. La saison 1 du circuit Ocean Fifty, avec un premier épisode à Brest du 5 au 9 mai prochain. Brest a une grande tradition avec les Ocean Fifty, et des multicoques en général. Le deuxième épisode du 26 au 30 mai à La Rochelle, c’est une ville avec une grande tradition de la course au large. Ensuite direction Les Canaries à Las Palmas de Gran Canaria. Les conditions d’accueil seront exceptionnelles. On respecte l’histoire, l’ADN de la classe. La dernière étape aura lieu à Marseille du 21 au 24 juillet. Enfin la grande finale, avec une course au large au départ de la Méditerranée, dont on a pas encore le port de départ, mais dont l’arrivée sera à Brest avec un passage par Les Canaries. »

La Transat Jacques Vabre, s’ajoute au circuit Ocean Fifty, pour ceux qui le souhaitent dans cette fin d'année 2021, La Route du Rhum clôturant celle de 2022.



La FFV, est partenaire de la classe Ocean Fifty.

Edouard Mauriat, associé UpSwing Prod : « Une série documentaire intitulée Ocean Fifty, sera faite pour chacun des épisodes. Cette série racontera, transmettra les valeurs de cette classe, l’histoire de ces marins professionnels. Ce qui sera intéressant c’est de raconter comment ils font. Pour ça nous aurons des


moyens à bord des bateaux, avec des média men à bord, les

marins seront tous équipés de micro HF. Cette matière récoltée, permettra de transmettre ces aventures au grand public. Une immersion avec les moyens du cinéma. Le défi sera d’accompagner leurs propres défis, de trouver une forme de vérité. Ce sera la série Ocean Fifty en cinq épisodes ».



Catherine Léonidas 1ère adjointe de La Rochelle : «La Rochelle a une grande tradition maritime. La ville de La Rochelle, est impatiente de voir ce que ça va donner. L’objectif est de donner à voir, à comprendre aux gens du territoire. L’aspect environnemental est aussi important pour nous, l’implication dans le numérique. On est impatient. La seule inconnue est la situation sanitaire.»

Les skippers et leurs équipes :



Les team 2021


Gilles Lamiré, skipper du Groupe GCA – 1001 sourires : « Qui n’aurait pas envie d’être sur ce circuit-là. L’histoire de la classe a évolué pour en arriver là. On va naviguer en Méditerranée depuis des années, ce circuit va nous le permettre. On va pouvoir naviguer en in shore devant le public. Grace à la série documentaire, nous allons pouvoir montrer ce que c’est de naviguer en équipage, au large ».

Quentin Valmynck, skipper d’Arkema 4 : « Nous avons des bateaux extraordinaires, et là nous avons la possibilité de le faire voir, de le faire savoir. Nous sommes tous impatients de régater les uns contre les autres. La force de notre classe, c’est que tout le monde peut gagner. Chaque bateau a sa particularité. C’est la météo et les skippers qui font la différence. Il faudra être très régulier ».


Sam Goodchild, skipper de Leyton : « Avec Leyton, je suis déjà très fier d’être là. Le bateau sera utilisé comme laboratoire pour les technologies innovantes. Et aussi à travers le projet qui va accueillir des femmes dans l’équipage. On recherche actuellement l’équipage. On fait une collaboration avec le Magenta Project. Elles viendront naviguer avec nous plusieurs fois dans l’année. Ainsi que sur les convoyages. On espère qu’il y aura plus de femmes l’an prochain. »

Fabrice Cahien, skipper de Planète Warrior : « On a tous travailler pour monter ce circuit, le défi suivant est d’intégrer la RSEO dans la classe. Par exemple introduire le recyclage de nos bateaux, mais aussi la maîtrise des coûts. C’est une responsabilité. Quand on navigue on est assez écologique, mais la construction des bateaux doit évoluer pour réduite l’impact de ces constructions. On doit mutualiser, surtout lors des déplacements. Si on peut être un phare pour les autres classes tant mieux ».

Sébastien Rogues, skipper de Primonial : « La série qui va avoir lieu autour de l’Ocean Fifty, va permettre d’immerger les gens dans tout ce qu’on vit. La course au large, les grands prix, le défi 24 h, la préparation des équipages. J’espère qu’à travers l’œil d’Edouard, nous allons pouvoir faire découvrir la classe au gens. Et ça sera un atout pour nous skippers, dans la recherche de partenaires, c’est du gagnant, gagnant ».

Thibaut Vauchel Camus, skipper d’ARSEP : « Avec un média man en permanence à bord, on va créer un intérêt plus grand pour les publics, c’est une opportunité géniale, d’avoir un vrai coup de projecteur sur nos projets et nos partenaires. Visuellement la voile est magnifique, c’est une chance pour nous et il faut qu’on en profite ».

Partenaires financiers :institutionnels qui nous accueillent et privés, on cherche deux partenaires dont un namers de classe. On est en discussion très avancée avec deux partenaires.


Le programme 2021 :


1er épisode : Brest du 5 au 9 mai

2e épisode : La Rochelle du 26 au 30 mai

3e épisode : Las Palmas de Gran Canaria du 30 juin au 4 juillet

4e épisode : Marseille du 21 au 25 juillet


+ d'infos ICI


Revoir la conférence de presse :




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