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UltimBoat

D35 & GC32 Tous sur le Bol d'Or Mirabaud 2015.

Pas moins de 500 bateaux prendront le départ samedi à 10 heure, de la 75ème édition du Bol d'Or Miraubaud sur le lac Léman. Le parcours d'un bout à l'autre du lac et retour, est de 123 km.


C'est dans la catégorie reine, M1, des multicoques que nous retrouverons les équipages des teams ultimes. A commencer par la tenante du titre en la personne de Dona Bertarelli et son D35 Laydycat power by Spindrift Racing qui espère rééditer sa performance de l'an passé. Toujours en D35, on retrouve à bord d'Okalys François Gabart. Enfin sur le GC32 Edmond de Rothschild, boosté (mât plus haut), pour l'occasion, on retrouve Sébastien Josse et le Gitana Team.


La météo : Pas beaucoup de vent de prévu samedi matin pour le départ, 2 noeuds. Le temps sera assez changeant, qui peut être ensoleillé, mais avec de l'instabilité, voir des orages. Le vent sera variable et vu le peu d'ensoleillement prévu, peu de vent dit locaux. Vents faibles, irréguliers et variables pour samedi. Ca sera sans aucun doute un Bol d'Or "Coup de poker".


Les organisateurs ont mis en place un gros plan média pour suivre la course ne LIVE, aussi bien via les réseaux sociaux, mais aussi avec un Tracker et du Live vidéo. Le parrain de cette édition sera le marin Suisse le plus Breton, en la personne de Bernard Stamm.


Dona Bertarelli skipper de Ladycat : "Nous régatons sur le plus long lac d’Europe, entourés des sommets enneigés et de vignobles inscrits au patrimoine de l’UNESCO. On passe d’un terrain doux du côté suisse à des falaises qui tombent à pic, côté français. Le paysage est tout simplement époustouflant ! On ne connaît jamais vraiment la météo que l’on va avoir tout au long du parcours. Il est commun de dire qu’il y a 100 vents sur le Léman. Tout peut se jouer sur les transitions de l’un à l’autre. On peut rester sur un plan d’eau ‘miroir’ pendant des heures puis se retrouver, en quelques minutes, avec un vent des montagnes qui s’abat sur le lac avec une violence étonnante. Il ne faut donc rien lâcher jusqu’à l’arrivée car tout peut être remis en cause tout au long de la course. Nous en avons fait l’expérience autant dans la ‘pétole’ en 2010 que dans la brise en 2014 et, à chaque fois, c’est beaucoup de tension pour une grande joie lorsque finalement la victoire est à la clef !"

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